Mettre le vin blanc et les échalotes dans une casserole. Porter à frémissement et laisser réduire de moitié. La cuisson va éliminer l’acidité, et concentrer les saveurs.
Contents
- Comment enlever le goût du vin blanc dans une sauce ?
- Comment enlever le goût amer dans la sauce ?
- Comment enlever l’acidité d’un plat cuisiné au vin blanc ?
- Comment enlever l’amertume d’un vin chaud ?
- Qu’est-ce qui coupe l’amertume ?
- Comment enlever le goût amer de la citronnade ?
- Comment corriger un plat trop acide ?
- Comment enlever l’amertume d’une sauce au vin rouge ?
Comment enlever le goût du vin blanc dans une sauce ?
Pour supprimer l’acidité d’une sauce, ajoutez en fin de cuisson une pincée de bicarbonate alimentaire. Une mousse blanche apparaît puis disparait, dès que l’acidité est neutralisée.
Comment enlever le goût amer dans la sauce ?
Comment enlever le goût amer ? – Il arrive que même en suivant les recettes à la lettre, certains aliments deviennent amers avec la cuisson. Pour retirer cette amertume, vous pouvez ajouter 1/3 de cuillère à café de bicarbonate de soude ou du sucre dans le plat prêt à être servi.
Comment enlever l’acidité d’un plat cuisiné au vin blanc ?
Influence de la vinification sur l’acidité – Vignoble Rhodanien – Recours à l’acidification fréquent – Cépage Grenache très peu acide. En cas d’acidité trop faible, l’œnologue peut ajouter de l’acide tartrique pour acidifier le vin. En 2003, année caniculaire, la chaleur a brulé l’acide malique. Par dérogation en France, le recours exceptionnel à l’acidification fut alors généralisé avec des résultats plus ou moins bons.
- Cette acidification peut se faire sur le moût ou sur le vin;
- La désacidification est également envisageable;
- Pour cela il faut ajouter du bicarbonate de calcium ou de potassium, ceux-ci neutralisent l’acide tartrique;
Afin de diminuer l’acide malique il existe également la fermentation malolactique. Celle-ci consiste à transformer l’acide malique (dur) en acide lactique (plus rond). Si tous les vins rouges passent par une fermentation malolactique, seuls certains vins blancs la feront, et notamment les Chardonnays des régions les plus septentrionales de la Bourgogne.
Comment enlever le goût d’alcool dans une sauce ?
Quand on fait une sauce au vin rouge comme un boeuf bourguignon ou un civet de lièvre, par exemple, il faut l’adoucir. Pour cela, rien de plus simple. Selon la quantité, rajouter deux ou trois morceaux de sucre dans la sauce et laisser cuire ainsi.
Comment enlever le goût du vin dans un plat ?
Lorsque l’on cuisine un plat au vin rouge, comme le bourguignon, le civet, ou encore le coq au vin, le vin rouge a tendance à donner un goût acide. Pour l’adoucir, il suffit d’ajouter une cuillère à café de cacao amer à votre préparation, lors de la cuisson.
Comment enlever l’amertume d’un vin chaud ?
Quelles épices pour du vin chaud ? – Généralement, les épices utilisées pour préparer du vin chaud sont la cannelle, la badiane (aussi appelée « anis étoilé »), le clou de girofle et la muscade. De la cardamome, des grains de poivre noir et une pointe de gingembre peuvent également figurer dans certaines recettes.
- On y trouve aussi le zeste d’un citron et des tranches d’oranges, ou parfois, des pommes ou de la poire, en fonction des goûts;
- Attention, choisissez des fruits bio si vous souhaitez conserver leur peau;
Enfin, du sucre ou du miel sont utilisés pour contrebalancer l’acidité et l’amertume du vin. Pour Noël, nous vous conseillons de préparer votre mélange d’épices à vin chaud en avance. Dans ce cas, utilisez du sucre, plutôt que du miel, et le zeste de l’orange, à la place du fruit entier.
Glissez alors les épices, le sucre et les zestes dans des sachets à thé. Vous pourrez ainsi les utiliser quand vous en aurez besoin, ou les offrir à vos convives. Attention : conservez toujours vos épices dans des boîtes hermétiques, au sec et à l’abri de la lumière.
Les saveurs seront ainsi mieux préservées.
Qu’est-ce qui coupe l’amertume ?
Comment réduire l’amertume d’un mets ? – Nous l’avons compris, les aliments amers font du bien à notre corps. Toutefois, nous avons parfois envie d’estomper la puissance de cette amertume qui nous fait tant du bien ! Nous vous avons déjà expliqué comment réduire la saveur amère de certains ingrédients.
- Si vous souhaitez enlever le goût amer d’un plat ou d’une sauce, ajoutez-y 1/3 de cuillère à café de bicarbonate de soude, qui neutralise l’amertume des légumes;
- En alternative, vous pouvez joutez du lait, de la crème, du yaourt ou du lait de coco pour adoucir le goût d’un mets trop amer;
Maintenant que vous en savez plus sur les aliments amers, il sera plus facile de les inclure dans votre alimentation afin d’en tirer plusieurs avantages pour votre santé ! Lire aussi : Les meilleurs gâteaux sans gluten.
Comment enlever le goût amer de la citronnade ?
Inconcevable pour moi de tenir un blog culinaire sans que n’y figure la recette de la citronnade ! Chez nous c’est une institution : toujours présente sur nos tables de fêtes, aux côtés de son copain de le bouscoutou (entre autres. Incontournable. Mais attention ! Il ne s’agit pas de presser vite fait un pauvre citron afin de le diluer dans de l’eau ni-vu-ni-connu-j’t’embrouille ! Sacrilège ! La vraie citronnade contient l’intégralité des citrons (zests et pulpe), et nécessite plusieurs étapes, dont la cuisson.
- Le but est d’obtenir un vrai concentré de citron, que chacun diluera ensuite dans la quantité d’eau qui conviendra le mieux à ses papilles;
- Le sur-mesure de la citronnade;
- J’ai mis du temps à publier cette recette, car je n’avais pas trouvé celle qui me convenait parfaitement;
A chaque fois j’en essayais une autre, et à chaque fois il y avait un truc qui n’allait pas. J’ai essayé la méthode des citrons entiers bouillis, celle des citrons entiers crus, et celle où l’on blanchit uniquement les zests. Je préfère de loin cette-dernière, car l’amertume disparaît complètement, le goût du citron est préservé.
Cette recette m’a été envoyée par une pâtinaute prénommée Danielle, que je remercie chaleureusement. J’en suis totalement satisfaite, et je ne compte plus en changer. La citronnade n’est pas amère, le goût du citron est respecté, et le sucre parfaitement dosé.
Ensuite chacun ses coutumes : certains y ajoutent de la vanille, d’autres de la fleur d’oranger. On peut tout à fait la laisser telle quelle. Je la préfère avec des feuilles de menthe dedans, afin que son parfum se diffuse dans la citronnade, c’est délicieux et encore plus frais.
- RÉALISATION : (Pour un litre de concentré) : A titre indicatif, il faudra compter entre 3 à 5 citrons;
- Ce nombre peut varier en fonction de leur taille;
- La recette est donc donnée en grammes, car il faudra être très précis;
250g de jus et de pulpe de citrons non traités (on les presse, on pèse, et on complète avec la pulpe pour obtenir 250g en tout) 75g de zestes 250g de sucre en poudre 500g d’eau minérale d’eau très froide 250g d’eau minérale (pas forcément froide) Fleur d’oranger, vanille, menthe, ou rien du tout ! (selon les goûts) Pour cette recette il vous faudra un très bon économe, un tamis aux mailles serrées (celui que l’on utilise pour la farine), un blender et un entonnoir.
Pour ceux qui me suivent depuis un bout de temps, vous savez très bien que dès que j’entends “zeste” je fonce sur ma microplane ! Et bien ici il n’en est rien : j’ai essayé avec et ce fut le fiasco de l’année.
Il faut tout simplement un très bon économe, qui épluche très finement (ou un épluche tomate). Le but du jeu est de retirer les zestes, mais sans la partie blanche qui contient toute l’amertume. J’utilise l’économe d’Ikéa (que vous voyez sur la photo ci-dessous). Vous pouvez faire des gros morceaux, ça n’a aucune importance, car ils seront mixés ensuite : Il va falloir faire blanchir trois fois les zestes , afin qu’il n’y ait plus aucune amertume. Pour cela, plongez-les dans une casserole d’eau froide , portez-les à ébullition, et rincez-les tout de suite sous l’eau froide. Recommencez l’opération encore deux fois (départ eau froide à chaque fois). Egouttez-les et réservez : Dans une casserole, versez 250g d’eau minérale et 250g de sucre en poudre. Portez à ébullition simplement pour faire fondre les grains de sucre (quelques secondes) , et transvasez de suite dans un récipient , pour que le mélange refroidisse plus vite (il ne faut pas le laisser dans la casserole chaude). Ajoutez éventuellement la fleur d’oranger ou la vanille (je ne connais pas les quantités, je dirais un bouchon de fleur d’oranger et une cuillère à café d’extrait de vanille, mais cela reste à confirmer).
- Il est parfaitement affûté, ce qui fait que l’on retire la peau des poivrons, des citrons, de la mangue et des tomates très facilement;
- Vous constaterez qu’il n’y a quasiment aucune partie blanche sur les zests, et c’est l’idéal ! Commencez donc par récupérer 75g de zestes;
Pendant ce temps, récupérez le jus et la pulpe des citrons : vous devez obtenir 250g en tout. Versez le tout dans le blender, avec les zestes, le sirop et les 500g d’eau très froide (ce qui fera bien baisser la température du mélange, et qui nous évite d’attendre trois plombes pour qu’il refroidisse).
- Mixez pendant 3mn (vitesse max);
- Laissez ensuite le blender fermé au frais pour la nuit (12h);
- C’est plus pratique de le laisser dans le blender, surtout qu’ensuite il faudra verser, et le bec verseur sera bien utile ! Le lendemain, il faudra filtrer;
Pour cela il faut un tamis aux mailles très serrées (ceux destinés au tamisage de la farine sont parfaits). La recette traditionnelle recommande l’utilisation d’une gaze, mais je ne trouve pas ça super propre, je préfère éviter. Voici la façon dont je procède : je mets un petit entonnoir à l’intérieur du goulot de la bouteille, je place le tamis au-dessus de l’entonnoir, et je verse tout doucement.
Il faut vraiment y aller petit à petit, car vous verrez que les zestes mixés vont vite s’accumuler. Il faudra les retirer au fur et à mesure pour que le mélange puisse être filtré correctement. Et voilà ! Vous voici avec ce fameux concentré de citronnade, qui vaut de l’or ! Gardez-le bien au frais surtout ! Si vous souhaitez l’aromatiser avec de la menthe , faites passer quelques branches dans la bouteille.
REMARQUES (je remercie encore Danielle pour ses conseils précieux, que je vous livre ici) : – N’oublions pas que le citron est un fruit comme les autres ! Ils ne se valent pas tous ! Plus ils seront de qualité, meilleure sera la citronnade, évidemment.
– Comme je le disais en préambule, ceci est un concentré : il faudra le diluer dans de l’eau bien fraiche , en fonction des goûts de chacun. – N’ajoutez surtout pas de glaçons une fois que vous aurez fait le mélange, car la citronnade n’aura plus le même goût lorsqu’ils auront fondu.
– Si jamais l’on vous demande d’ajouter du sucre (mais ça ne devrait pas arriver), il faudra sucrer avec du sucre de canne liquide , et non pas du sucre en poudre, car les grains de pourront jamais se dissoudre dans le froid. – Ce concentré se congèle très bien : vous pourrez par exemple remplir des sacs à glaçons, et les sortir au besoin, c’est super pratique (surtout vu le boulot que nécessite la recette.
Vous aurez toujours de la citronnade de compét’ sous la main ! INSERT DU 06/05/2014 : Danielle ayant laissé un commentaire très intéressant suite à la publication de sa recette, je préfère l’insérer ici pour que tout le monde en profite : “Bonjour Valérie, Merci pour ce post et le déroulé en photos, très pédagogique comme toujours.
Concernant la maturation (12h ou plus), elle est nécessaire pour que toutes les saveurs se développent harmonieusement -comme pour la crème anglaise, les glaces, certains cakes. – mais si une envie subite et incontrôlée de citronnade vous prend, on peut bien sûr éliminer cette étape, la citronnade sera moins puissante et plus volatile mais bonne tout de même! Quant à la conservation au réfrigérateur au delà d’une semaine, vous avez donné la bonne réponse (cela dépend aussi de la qualité des citrons et de.
votre réfrigérateur). Je préfère la conserver dans de petites bouteilles d’eau en plastique d’1/4 ou 1/2L au congélateur (en veillant bien à ne pas remplir jusqu’en haut et à ne fermer la bouteille qu’une fois la citronnade congelée!!!).
D’autant que la saison des très bons citrons est bientôt finie. J’ai souri à votre réaction face à la gaze pour filtrer la mixture. On en trouve chez La Bovida et elle est garantie à usage alimentaire. et propre (et à usage unique bien sûr). On peut aussi utiliser une étamine pour une boisson très claire, mais vous ne devez pas aimer non plus.
Sans gaze pour filtrer, il vaut mieux ne pas mixer trop fin pour éviter que des particules de zestes ne passent (ce qui pour le coup gênerait la bonne conservation). Bonne citronnade!” Trop forte Danielle.
;).
Pourquoi ma carbonnade a un goût amer ?
Préparation : – Sortir la viande du réfrigérateur au moins une heure avant, la couper en gros morceaux. Réserver. Émincer les oignons, les faire revenir dans du beurre, ajouter une cuillère à soupe de cassonade, les faire bien colorer, réserver. Dans la même cocotte, refaire fondre du beurre, jouter les morceaux de viande, les faire dorer. Une fois que la viande est bien dorée, la saupoudrer de la moitié de la farine. Retourner la viande et saupoudrer l’autre côté de l’autre moitié de farine. Ajouter les oignons. Saler, poivrer. Mouiller le tout avec la bière, ajouter le bouquet garni, une cuillère à soupe de cassonade et une cuillère à soupe de moutarde. Au bout de ce temps, tartiner généreusement 6 tranches de pain d’épices de moutarde. Les déposer sur la viande, les laisser se dissoudre dans la sauce. Goûter la sauce, si elle est trop amère à cause de la bière, ajouter du pain d’épices (le paquet de 350 g finit dans la cocote chez moi, juste pour information ! 😛 ). Laisser mijoter à feu très doux pendant 1 heure. Si la sauce est trop épaisse, rallongez avec de l’eau. En parallèle, éplucher et couper les carottes en rondelles assez épaisses (si vous les faîtes trop fines, vous ne les retrouverez pas dans votre plat, ça va faire de la purée!). Les faire cuire dans de l’eau bouillante jusqu’à ce qu’elles soient cuite mais pas trop fondantes non plus! Ajouter les carottes à la carbonnade, et laisser mijoter encore 1 heure à feu très très doux!!! A déguster avec frites ! Et encore meilleur le lendemain avec des pâtes … Un régal, si vous ne connaissez pas encore ce plat, c’est le moment de vous lancer, à condition d’aimer le sucré-salé, bien entendu 🙂.
Comment rattraper une sauce au vin blanc trop acide ?
Dans quel type de sauce ajoute-t-on du vin et pourquoi ? – On peut ajouter du vin, aussi bien dans les sauces de viande, que de poisson. Traditionnellement, on réserve le vin rouge aux viandes rouges et le vin blanc aux poissons et viandes blanches. Mais rien n’empêche d’inverser la donne ! L’ajout de vin permet d’alléger la texture en bouche des sauces grasses.
En effet, en salivant, la sensation collante laissée par les sauces grasses sur le palais a tendance à disparaître. Les sauces au vin sont également monnaie courante dans les plats de viande mijotée, comme le bœuf bourguignon ou l’osso bucco.
En présence d’acide, les protéines de la viande se dénaturent pour former un « gel protéique ». Cette structure permet, non seulement, de rompre la rigidité des tissus musculaires, mais aussi, de piéger l’eau au cœur de la viande lors de la cuisson. On obtient ainsi une viande plus tendre et juteuse ! Dans la plupart des cas, le vin est employé dès l’étape de marinage de la viande afin de maximiser l’effet de l’acidité sur les protéines.
- Comment équilibrer une sauce au vin ? Dans un premier temps, votre priorité est de recueillir les arômes de votre sauce : • Faites revenir des légumes dans une matière grasse qui fixera les arômes;
- • Saisissez des morceaux de viande à feu vif pour en extraire une saveur grillée;
La seconde étape est le déglaçage avec du vin froid (ou une marinade). Cette étape permet de solubiliser certains arômes. Veillez à bien faire réduire pour éliminer le maximum d’alcool, puis mouillez avec du bouillon ou tout autre liquide. Pour terminer, ajustez l’acidité en « montant votre sauce au beurre ».
Comment corriger un plat trop acide ?
Parfois un plat est trop acide, ou au contraire insuffisamment acide. Comment le rendre moins acide dans le premier cas, et plus acide dans le second ? Les chimistes savent bien jouer avec les acides et, aussi, avec les composés qui neutralisent ces derniers, et que l’on nomme des bases.
En réalité, la règle est toute simple : ajouter un acide à un plat le rend plus acide, et ajouter une base à un plat trop acide le rend moins acide. Commençons par expliquer tout cela par une expérience qui n’est pas comestible (j’insiste : ne pas goûter les résultats de cette expérience).
Prenons de l’acide chlorhydrique : c’est un produit très acide quand il est concentré, mais dont l’acidité diminue à mesure qu’on le dilue avec de l’eau, au point que son acidité peut devenir inférieure à celle du jus d’un citron, ou même du jus d’une orange, d’une framboise, etc.
- Voilà pour les acides;
- Pour les bases, maintenant : la soude caustique est une base très violente, et il est bien évidemment hors de question de la manger, ou de la boire si elle est en solution concentrée;
La solution qu’on obtient quand on dissout des pastille de soude dans l’eau est très basique, et il ne faut surtout pas la consommer, mais si l’on dilue beaucoup cette solution avec de l’eau, alors on obtiendra une solution très faiblement basique, qui ne présentera plus aucun danger.
- Passons maintenant à l’étape suivante : si nous avons une solution d’acide chlorhydrique concentrée et que nous ajoutons une solution de soude également concentrée, alors les deux corps réagissent et produisent du sel;
Oui, du sel de table, le chlorure de sodium. Cette fois, il n’y a plus acidité, ni basicité, mais la production d’un sel. Avec d’autres acides et d’autres bases, on obtiendra d’autres produits que les chimistes ont nommé sels, et qui ne sont plus du chlorure de sodium.
- Par exemple, avec de la potasse et de l’acide chlorhydrique, on obtiendra le chlorure de potassium;
- La potasse ? C’est une autre base, que l’on trouve notamment dans les cendres de bois, et l’on peut obtenir une solution de potasse assez concentrée en faisant passer de l’eau sur des cendres de bois mises dans un filtre à café;
La solution que l’on produit ainsi se nomme une lessive de cendres, et c’est une solution de potasse assez pure… qui était utilisée naguère en cuisine pour conserver la couleur verte des légumes verts. Mais revenons à nos acides et à nos bases. Si nous partons d’une certaine quantité d’un acide et que nous ajoutons une quantité inférieure d’une base, alors nous formons du sel en proportion de la quantité de base ajoutée.
Cela vaut pour les acides et les bases forts, mais aussi pour des acides et bases moins forts. Par exemple, l’acide citrique, qui constitue l’essentiel du jus de citron, est un acide, tout comme l’acide tartrique, que l’on produit à partir des précipités qui se forment par temps froid dans les bouteilles de vin blanc.
Sur l’autre versant, celui des bases, il y a le bicarbonate, dont le véritable nom est hydrogénocarbonate de sodium. C’est une base faible, que l’on peut donc parfaitement utiliser en cuisine, tout comme nous pouvions utiliser l’acide citrique. Voici donc quelques composés qui peuvent enrichir l’arsenal des cuisiniers : quand un plat n’est pas assez acide, on peut lui ajouter de l’acide citrique, comme on ajouterait du sel (une pincée ou deux).
- Inversement si un plat est trop acide, on peut ajouter du bicarbonate;
- On réduira alors l’acidité;
- Bien sûr, l’acide citrique, l’acide ascorbique, le bicarbonate, etc;
- ont des saveurs qui s’ajouteront à celles du plat, comme s’ajoute le goût de citron quand on ajoute du jus de citron à un plat, pas plus;
On le voit, le réglage de l’acidité dans un plat est un a jeu d’enfant pour qui connaît les acides et bases et sait utiliser soit des acides et bases faibles (acide citrique, bicarbonate…), ou des acides et bases forts , mais très dilués..
Comment faire baisser son taux d’acidité ?
Comment masquer le goût de l’alcool ?
Comment faire une sauce au vin blanc pour un repas chic ?
Les premix sont un mélange d’ alcool et de boisson très sucrée type soda ou jus de fruits destiné à masquer le goût de l’alcool.
Comment enlever le goût du vin dans une daube ?
Astuces pour adoucir le bœuf bourguignon – Pour casser l’acidité du vin, dans un bœuf bourguignon, voici quelques astuces. Il vous suffit de mettre une cuillerée de miel dans votre sauce pour adoucir l’acidité du vin, et le miel relèvera votre viande d’une touche gourmande sucrée qui se mêlera parfaitement au jus.
On peut également incorporer du chocolat dans votre sauce, pour casser l’acidité du vin, il va aussi rajouter un petit goût subtil et de la brillance dans votre sauce. Le vin peut être, également remplacé par de la bière dans la recette.
En voici, des recettes de Bœuf bourguignon à la bière.
Comment enlever l’amertume d’une sauce au vin rouge ?
Adoucir une sauce cuisinée au vin rouge Les plats cuisinés au vin rouge, comme le bœuf bourguignon, le coq au vin, les civets, etc, sont souvent très acides et de fait, difficiles à digérer. Pour les adoucir et les rendre plus digestes, ajouter une cuiller à café de cacao amer pendant la cuisson.
Comment enlever l’amertume d’une sauce au vin rouge ?
Adoucir une sauce cuisinée au vin rouge Les plats cuisinés au vin rouge, comme le bœuf bourguignon, le coq au vin, les civets, etc, sont souvent très acides et de fait, difficiles à digérer. Pour les adoucir et les rendre plus digestes, ajouter une cuiller à café de cacao amer pendant la cuisson.
Comment réduire l’acidité d’un plat ?
Parfois un plat est trop acide, ou au contraire insuffisamment acide. Comment le rendre moins acide dans le premier cas, et plus acide dans le second ? Les chimistes savent bien jouer avec les acides et, aussi, avec les composés qui neutralisent ces derniers, et que l’on nomme des bases.
- En réalité, la règle est toute simple : ajouter un acide à un plat le rend plus acide, et ajouter une base à un plat trop acide le rend moins acide;
- Commençons par expliquer tout cela par une expérience qui n’est pas comestible (j’insiste : ne pas goûter les résultats de cette expérience);
Prenons de l’acide chlorhydrique : c’est un produit très acide quand il est concentré, mais dont l’acidité diminue à mesure qu’on le dilue avec de l’eau, au point que son acidité peut devenir inférieure à celle du jus d’un citron, ou même du jus d’une orange, d’une framboise, etc.
- Voilà pour les acides;
- Pour les bases, maintenant : la soude caustique est une base très violente, et il est bien évidemment hors de question de la manger, ou de la boire si elle est en solution concentrée;
La solution qu’on obtient quand on dissout des pastille de soude dans l’eau est très basique, et il ne faut surtout pas la consommer, mais si l’on dilue beaucoup cette solution avec de l’eau, alors on obtiendra une solution très faiblement basique, qui ne présentera plus aucun danger.
Passons maintenant à l’étape suivante : si nous avons une solution d’acide chlorhydrique concentrée et que nous ajoutons une solution de soude également concentrée, alors les deux corps réagissent et produisent du sel.
Oui, du sel de table, le chlorure de sodium. Cette fois, il n’y a plus acidité, ni basicité, mais la production d’un sel. Avec d’autres acides et d’autres bases, on obtiendra d’autres produits que les chimistes ont nommé sels, et qui ne sont plus du chlorure de sodium.
Par exemple, avec de la potasse et de l’acide chlorhydrique, on obtiendra le chlorure de potassium. La potasse ? C’est une autre base, que l’on trouve notamment dans les cendres de bois, et l’on peut obtenir une solution de potasse assez concentrée en faisant passer de l’eau sur des cendres de bois mises dans un filtre à café.
La solution que l’on produit ainsi se nomme une lessive de cendres, et c’est une solution de potasse assez pure… qui était utilisée naguère en cuisine pour conserver la couleur verte des légumes verts. Mais revenons à nos acides et à nos bases. Si nous partons d’une certaine quantité d’un acide et que nous ajoutons une quantité inférieure d’une base, alors nous formons du sel en proportion de la quantité de base ajoutée.
Cela vaut pour les acides et les bases forts, mais aussi pour des acides et bases moins forts. Par exemple, l’acide citrique, qui constitue l’essentiel du jus de citron, est un acide, tout comme l’acide tartrique, que l’on produit à partir des précipités qui se forment par temps froid dans les bouteilles de vin blanc.
Sur l’autre versant, celui des bases, il y a le bicarbonate, dont le véritable nom est hydrogénocarbonate de sodium. C’est une base faible, que l’on peut donc parfaitement utiliser en cuisine, tout comme nous pouvions utiliser l’acide citrique. Voici donc quelques composés qui peuvent enrichir l’arsenal des cuisiniers : quand un plat n’est pas assez acide, on peut lui ajouter de l’acide citrique, comme on ajouterait du sel (une pincée ou deux).
Inversement si un plat est trop acide, on peut ajouter du bicarbonate. On réduira alors l’acidité. Bien sûr, l’acide citrique, l’acide ascorbique, le bicarbonate, etc. ont des saveurs qui s’ajouteront à celles du plat, comme s’ajoute le goût de citron quand on ajoute du jus de citron à un plat, pas plus.
On le voit, le réglage de l’acidité dans un plat est un a jeu d’enfant pour qui connaît les acides et bases et sait utiliser soit des acides et bases faibles (acide citrique, bicarbonate…), ou des acides et bases forts , mais très dilués..