Au XIème siècle, un vrai repas français se déroule comme ceci : –
- Entrée
- Plat
- Fromage et/ou dessert
Dans la tradition Française, on mange le salé avant le sucré et ça se traduit souvent par manger le fromage après le plat et avant le dessert. Pour les Français, le fromage est un produit de consommation quotidienne, un produit phare du repas. Les Français sont parmi les plus gros consommateurs du monde de fromages. Un Français consomme 26 kg de fromage par an ! Le fromage aujourd’hui est produit phare de nos repas.
Lors de nos apéritifs, on le mange dans des verrines, petits fours, brochettes et autres mignardises. En plat unique, les plats montagnards hivernaux sont les mets adéquats pour les « cheese addict », la raclette, tartiflette et la fondue raviront les papilles des plus gourmands.
Aujourd’hui, les besoins des consommateurs en matière d’apports énergétiques ont baissé, les emplois du temps des Français ont été modifiés et certaines séquences du repas traditionnel ont été supprimé. En effet, les Français font souvent plat unique ou plat/fromages ou plat/dessert.
Pourquoi manger du fromage à la fin d’un repas ?
Sweet Cheese (programme européen Cheese up your life) ; CNIEL ( 2017) Le fromage des origines – Des cinq continents de la planète, l’Europe est celui qui produit et consomme le plus de fromages. Ceux-ci se comptent par milliers : chaque pays européen, la France tout particulièrement, a développé au cours des siècles des spécialités fromagères traditionnelles.
aux formes, couleurs, textures et goûts incroyablement variés. Cette extraordinaire diversité résulte de la multiplicité des terroirs (sols, altitude et pente, microclimat), de leur végétation spécifique (fourrages pour les animaux), des savoir-faire locaux, des « débouchés » (auto-consommation locale ou vente lointaine), des traditions culturelles… Tout aussi divers sont, comme nous le verrons, les habitudes de consommation du fromage ainsi que la place de ce dernier au sein du repas.
Les Européens connaissent le fromage depuis (au moins) 7200 ans. C’est l’âge de ces morceaux de terre cuite percés de petits trous qui ont été retrouvés en Pologne et dont on sait qu’ils sont des fragments de faisselles (moules) à fromage : les analyses chimiques des résidus de matières grasses présents sur ces tessons de poterie attestent clairement de cette utilisation… Mais le fromage est en réalité un aliment très récent dans l’histoire de l’humanité, laquelle a débuté il y a 2,5 millions d’années avec l’apparition des premiers Homo habilis.
Il a fallu en effet attendre très longtemps pour que l’homme amorce le lent processus de domestication de certaines espèces de mammifères sauvages (chèvres et brebis puis, quelques siècles plus tard, bovins).
C’est l’élevage de ces animaux – initié au Proche-Orient il y a « seulement » 10 500 ans – qui allait permettre à nos lointains ancêtres du Néolithique de traire le lait des femelles et de le transformer en lait fermenté, en caillé ou en fromage… Un fromage qui n’était alors pas autre chose que du lait caillé versé dans une forme, c’est-à-dire un moule (cette forme donnant le mot formage qui deviendra fromage ).
Cette transformation du lait était motivée en partie par la nécessité de pouvoir conserver ce précieux et fragile breuvage. L’aliment des « barbares » acquière progressivement ses lettres de noblesse Dans les anciennes civilisations de l’Antiquité, le fromage ne jouit pas d’une image très positive.
Au VIII° siècle avant notre ère, le grec Homère fait du lait et du caillé les aliments principaux du cyclope Polyphème. Cet être sauvage, terrifiant et brutal « trait, selon sa coutume, ses brebis et ses chèvres bêlantes […] puis, laissant cailler la moitié du lait, il le dépose dans des corbeilles tressées avec soin.
» (l’Odyssée, chant VI). Quelques siècles plus tard, le statut du fromage commence à s’élever, dépassant celui du lait qui, lui, reste dévalorisé. Dans la Grèce et la Rome antiques, le lait est en effet perçu comme l’aliment des « barbares » tandis que le fromage, produit transformé par l’homme, est une nourriture de « civilisés ».
Malgré cela, le fromage demeure avant tout l’aliment des bergers et des cultivateurs : il n’apparaît pas à la table des riches citoyens. Dans la seconde partie du Moyen Âge, le fromage joue un rôle important dans le régime alimentaire des moines : le plus souvent issus de la noblesse, ces derniers témoignent de leur vœu de pauvreté et d’humilité en consommant cet aliment populaire.
- Ils le fabriquent eux-mêmes dans leurs abbayes et, peu à peu, en améliorent la qualité;
- Les fromages des monastères commencent à gagner les marchés urbains européens et les tables des élites médiévales (en revanche, ces dernières méprisent toujours le lait);
Entre le XVI° et le XVIII° siècle, le fromage reste néanmoins peu consommé par l’aristocratie et la bourgeoisie des villes, à l’exception de quelques spécialités renommées. Il faut attendre la seconde moitié du XIX° siècle pour voir la consommation de fromage monter en puissance dans toutes les couches de la société.
- C’est l’époque où l’élevage laitier se développe fortement et où sont créées les laiteries, d’abord artisanales puis industrielles;
- Leurs fromages commencent à remplacer les productions fermières qui étaient principalement destinées à l’auto-consommation;
Parallèlement, les transports et les techniques de conservation se développent rapidement… Conséquence : les citadins, dont le nombre ne cesse de s’accroître, se mettent à manger davantage de fromages, ces derniers leur étant devenus plus accessibles physiquement et financièrement.
A partir des années 1920, des gastronomes se mettent à vanter les mérites des fromages locaux : ceux-ci se voient même élevés au rang d’emblèmes de la gastronomie française ! Parti de très bas, le fromage a acquis un immense prestige.
Un statut qui explique son accession au rang de composante majeure du repas des Français. Le fromage, composante à part entière du « repas gastronomique des Français » Le fromage est, à lui seul , l’une des quatre séquences dont la succession constitue, aux yeux de nombreux Français, un « vrai » repas.
Chacun des trois autres services – entrée, plat et dessert – peut en effet être composé de mets ou d’aliments très variés. L’entrée peut ainsi consister, par exemple, en un velouté de champignons, un assortiment de crudités, un plat de charcuteries ou, lors d’occasions festives, une tranche de foie gras ou une assiette d’huîtres.
Le plat principal peut quant à lui être composé de viande de boucherie, de volaille ou encore de poisson, accompagné de différents légumes ou de féculents variés. S’agissant des desserts, la diversité n’est pas moindre : fruits, pâtisseries, crèmes et mousses, sorbets et glaces, etc.
A contrario , la séquence « fromage » ne propose, elle, que du fromage ! Cette singularité témoigne de la place que ce produit est parvenu à conquérir : une place éminente au sein du « repas gastronomique des Français » inscrit en 2010 au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Un repas qui, selon les termes du dossier officiel de candidature auprès de l’UNESCO, est « ouvert par l’apéritif, clos par le digestif [et] comporte des services successifs : entrée, poisson et/ou viande avec légumes, fromages, desserts. » Cependant, cet « ordre des mets » qui voit le fromage succéder au plat de viande ou de poisson et précéder les fruits et délices sucrés n’a pas existé de toute éternité… Entre la poire et le fromage « Ils abordèrent la question entre la poire et le fromage.
» Cette expression courante signifie « à la fin du repas », au moment où les convives, rassasiés et détendus, se mettent à parler plus librement, voire se livrent à quelques confidences. Pourtant, quelque chose dérange : ne devrait-on pas dire plutôt : entre le fromage et la poire ? Le « repas gastronomique des Français », dans lequel le fromage arrive en troisième position (donc avant la poire), est en réalité le fruit d’une lente évolution.
En particulier, la place occupée aujourd’hui par le fromage, entre le plat principal et le dessert, n’a été instaurée que récemment. Où se positionnait donc le fromage autrefois ? Précisons d’emblée que, lors des banquets médiévaux, cet aliment n’était jamais consommé au début ni même au milieu du repas, mais toujours à la fin de celui-ci.
Aux XIV° et XV° siècles, le festin aristocratique s’achevait par trois services nommés « issue », « desserte » et « boute-hors ». Les fromages faisaient partie des « issues », cohabitant avec des mets sucrés et des plats salés comme le hareng frais ou le marsouin ! Jusqu’à la fin du Moyen Âge, le salé – catégorie à laquelle appartient le fromage – était en effet couramment associé au sucré (uniquement sur les tables des puissants, seuls les ultra-riches pouvant avoir accès au sucre, produit rare et fort coûteux).
Le sucré était ainsi présent du début à la fin du banquet : il pouvait assaisonner aussi bien les viandes que les poissons ou encore les légumes (cet usage durera jusqu’au milieu du XVII° siècle). De même, les fruits crus étaient servis au début du repas, cet usage s’appuyant sur des raisons diététiques ; seuls les poires, les coings et les nèfles ainsi que les fruits cuits étaient mangés à la fin du banquet car ils avaient la réputation de « fermer l’estomac ».
Une vertu que les médecins de l’époque attribuaient également aux fromages, particulièrement à ceux qui étaient vieux, bien affinés et forts : mangés à la toute fin du repas, ils permettaient de sceller l’estomac et d’éviter que les aliments ingérés avant eux ne remontent dans l’oesophage.
A partir de la Renaissance (XVI° siècle), deux phénomènes firent leur apparition. En premier lieu, la consommation de sucre par les élites sociales s’accrut fortement (de nombreuses préparations sucrées, originaires d’Italie, furent introduites à la table des nobles du royaume de France).
Parallèlement, la saveur sucrée, y compris celle apportée par les fruits frais, commença à migrer progressivement vers la fin du repas. Ce lent déplacement est très important car il témoigne de l’apparition, dans la culture alimentaire française, d’une antinomie entre sucré et salé.
Peu à peu, la fin du repas devint celle du « dessert » : ce dernier service – proposé après que l’on ait « desservi » les plats principaux et changé les nappes – concentrait tous les mets sucrés du repas : fruits crus, cuits ou confits, pâtisseries et autres préparations sucrées.
Un seul aliment salé faisait exception : le fromage. Comme au Moyen Âge, on continuait de le servir en fin de repas, et en même temps que les fruits ou d’autres aliments sucrés. Le fromage ne devient une séquence à part entière du repas qu’à partir du XX° siècle Cette position non individualisée du fromage a perduré jusqu’au début des années 1900.
Au XIX° siècle, le dessert comportait toujours fruits, compotes, gâteaux divers, brioches, biscuits, glaces et… fromages. Il fallut attendre l’amorce du siècle suivant pour que la franche séparation entre le salé et le sucré finisse par s’imposer définitivement.
- Le sucré, et seulement lui , clôturait désormais le repas tandis que le fromage, mets salé, accédait à une autonomie pleine et entière en précédant le service des douceurs;
- Des modes de consommation variables selon les pays et en évolution constante Caractéristique du repas gastronomique des Français, la consommation de fromage sous la forme de plateau proposé au déjeuner et au dîner juste avant le dessert n’a pas d’équivalent dans le monde;
En Allemagne, en Belgique et aux Pays-Bas, le fromage est principalement consommé au petit-déjeuner ainsi que lors du repas du soir, sous forme de tartines. De même, les Danois – seconds consommateurs de fromage en Europe après les Français – en mangent surtout le matin et, parfois, à l’heure du déjeuner (le danablu , ou bleu danois, peut même être dégusté en dessert, accompagné de fruits).
- En Italie, l’essentiel du fromage consommé entre dans les préparations culinaires;
- Enfin, dans les pays Anglo-saxons (Grande-Bretagne, Irlande), il est avant tout consommé sous forme de sandwiches et de snacks à différents moments de la journée;
En France, au cours des dernières décennies, le traditionnel plateau de fromages est devenu de plus en plus rare lors des repas ordinaires du quotidien. L’évolution profonde et rapide des modes de vie et des rythmes de vie (devenus des rythmes de ville) s’est en effet traduite par une simplification du repas de tous les jours : le fromage ainsi que l’entrée ont été les deux séquences à pâtir de ces évolutions.
A l’image de leurs voisins européens, les Français ont en revanche adopté d’autres façons de consommer du fromage : dans les salades, comme ingrédient culinaire (tartiflette au reblochon, plats gratinés à l’emmental, risotto au gorgonzola, etc), à l’apéritif ou encore comme produit de grignotage.
Ces nouveaux comportements résultent là aussi des changements socio-économiques qui ont affecté, depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, l’ensemble des pays européens : diminution de la part des repas pris au domicile et croissance de la restauration hors foyer, essor du snacking avec (parfois) le souci de grignoter sain, réduction du temps consacré à préparer les repas et, depuis peu, regain d’intérêt pour la cuisine maison (surtout le week-end et en vacances), montée de l’individualisation croissante des plats et des repas… Le fromage au dessert… un retour aux sources ? Ces différentes évolutions n’ont pas sonné le glas du fromage.
Elles ont seulement entraîné le déclin de certains modes traditionnels de consommation et leur compensation par de nouveaux usages adaptés aux comportements alimentaires émergents. Parmi eux, on peut citer le végétarisme et le flexitarisme (la viande n‘est pas totalement exclue mais réservée, par exemple, aux seuls week-ends) : sous des formes diverses, le fromage remplace en partie la viande en tant que source de protéines animales.
De même, la street-food crée de nouvelles opportunités pour des sandwiches et autres produits de snacking dans lesquels le fromage représente un des principaux ingrédients (cheeseburgers servis dans les food-trucks , paninis au fromage, etc). Autre exemple : l’essor des « nouvelles convivialités » moins formelles que le repas traditionnel (apéritifs déjeunatoires ou dinatoires, brunchs, pique-niques urbains, etc) permet au fromage de devenir l’ingrédient central de bouchées de dégustation créatives, parfois très sophistiquées (comme celles qui associent fromage de Brie et figues, mont d’or et truffes, fourme d’Ambert et sauternes, etc).
Citons encore l’ouverture récente de bars à fromage ciblant une clientèle jeune, urbaine et « branchée », avide de rencontres et de découvertes gourmandes. Le fromage tend également à réintégrer la séquence du dessert dont il faisait autrefois partie, renouvelant ainsi l’ancien mariage sucré-salé de la fin de repas.
En Corse, cette pratique n’avait jamais disparu : le brocciu – un fromage frais à base de petit-lait de brebis ou de chèvre – est parfois mangé tel quel en dessert, accompagné de sucre ou de confiture de figues. Ce même brocciu entre également dans la composition de différentes pâtisseries comme le fiadone (une tarte froide aux arômes de citron).
Sur le continent, un dessert traditionnel de la région des Causses, dans le sud de l’Aveyron, porte le nom de flaune : il consiste en un fond de pâte brisée garni d’un flan à base d’œufs, de sucre, de fleur d’oranger et de « recuite ».
Ce terme désigne un fromage obtenu en faisant chauffer le petit-lait de brebis récupéré lors de la fabrication du roquefort ou du pérail. Dans le pays basque, le grueil désigne un fromage à la texture grumeleuse obtenu en faisant bouillir le lactosérum de brebis ; on le déguste avec du miel local ou de la confiture de cerises noires récoltées dans le village d’Itxassou.
- Outre ces spécialités à base de petit-lait, les fromages frais entrent depuis longtemps dans la composition de tartes et de desserts;
- Certains d’entre eux sont nés Outre-Atlantique ( cheesecake ) ou sont d’origine transalpine (tiramisu);
Aujourd’hui, certains chefs servent en dessert différents types de fromages accompagnés de fruits qu’ils ont préalablement travaillés (en les faisant mariner, réduire ou confire). Plusieurs d’entre eux, ainsi que de nombreux blogueurs et blogueuses culinaires, ont créé de nouvelles recettes qui ne se limitent plus aux traditionnels fromages frais aux saveurs peu marquées : millefeuilles confectionnés avec des tuiles au parmesan ou au comté, tarte sablée aux mûres et au St Agur (Pierre Gagnaire), tarte pomme-coco-fromage de chèvre de Valençay (Philippe Conticini), ,glace à la poire et au roquefort, mousse de maroilles, camembert au fruits secs arrosé de caramel liquide.
- Cette tendance n’est pas spécifique au fromage : depuis plusieurs années déjà, de nombreux légumes (carotte, citrouille, betterave, fenouil, petits pois, courgette, poivron…) sont eux aussi intégrés dans des desserts sucrés;
Outre la recherche de nouvelles saveurs et la redécouverte du sucré-salé (stimulée par le goût pour les cuisines du monde), la réintroduction du fromage au dessert correspond au désir actuel d’une cuisine gourmande, inventive et originale, qui adore casser les codes et entend « faire bouger les lignes ».
Contents
Pourquoi on mange Entrée-plat-dessert ?
Moins de temps, moins de plats – Le nombre de plats proposés est restreint par le fait que les cuisiniers doivent désormais préparer les plats sur le moment. Face à cela, on se concentre sur les pièces de viande : le plat principal est en train de naître, et entrées et hors-d’œuvre viennent se confondre pour gagner du temps.
- “Au XVIIIe siècle, on parle d’une nouvelle cuisine, légère, pour une élite qui ne veut plus passer trop de temps à table;
- Et la grande différence est qu’on va apporter les plats les uns après les autres”, explique un historien pour Atabula;
La chef Auguste Escoffier , qui a participé à l’essor de la cuisine française dans le monde, a aidé à restreindre davantage les plats et à gagner en rapidité en imposant un service de trois ou quatre plats et en créant le “menu à prix fixe”. Lors de son passage au Ritz, il imposait de finir par un dessert sucré.
Quelle assiette pour le fromage ?
Le repas mijote sur le feu, les grands crus ont été mis à décanter dans la carafe, les invités sont attendus d’une minute à l’autre… Tous les éléments sont réunis pour réaliser un dîner plus que parfait. Seulement, il existe des règles très précises à suivre en termes de dressage de table, de placement des invités et de comportements à adopter au cours du repas.
En cinq épisodes, nous allons donc explorer l’art de recevoir à la française, sous toutes ses coutures. Leçon numéro 1, le dressage d’une belle table … La petite Histoire « Dresser la table » est une expression qui vient du Moyen-âge.
A l’époque, les salles à manger n’existaient pas et l’on déjeunait ou l’on dînait sur des planches posées sur des tréteaux. C’est seulement à la fin du XVIIIe siècle que sont apparues les premières salles à manger dans les demeures nobles ou riches bourgeoises. La table Il faut s’occuper en premier lieu du cœur la réception: la table. Elle donne le ton de la soirée, est décorée à l’image des hôtes et doit impérativement être installée avant l’arrivée des invités. Le choix du linge, de la vaisselle, des couverts, des verres et de la décoration dépend non seulement de l’état de fortune mais aussi des connaissances de l’organisateur en matière d’argenterie, de style, de textile, de classes sociales ou d’us et coutumes.
- Dans les années 1950, la salle à manger disparaît petit à petit et laisse la place à des « coins repas », plus ou moins spacieux;
- Dans nos espaces contemporains, la salle à manger se décline de diverses manières: coin salle à manger, table relevable, cuisine équipée ou pièce à part à fonction unique;
Le manque de connaissance ou d’argent peut être compensé, lors des repas familiaux ou d’amis, par l’expression de la personnalité dans la créativité de la décoration. Le linge de table Premier élément de la table: la nappe. Blanche, noire ou colorée, elle donne le ton et l’ambiance de la soirée. Le tombant de la nappe doit être égal de chaque côté de la table et la nappe posée sans plis. Le cas échéant, les plis sont repassés à même la table afin d’obtenir une surface totalement plate.
En ce qui concerne les serviettes, elles doivent être en tissu, généralement assorties à la nappe et posées à la gauche de l’assiette, pour un dîner, et sur l’assiette pour un déjeuner. Les couleurs peuvent varier mais elles doivent rester de bon goût (couleurs complémentaires ou dans la même gamme que la nappe). Depuis le XVIIIe siècle, les serviettes se posent sur les genoux. Avant cette période, elles se nouaient autour du cou, ce qui paraîtrait plus que surprenant aujourd’hui ! A la fin du dîner, l’invité pose sa serviette sur la table et ne la plie pas; cela donnerait l’impression qu’il compte rester au repas suivant.
Le rond de serviette, d’usage plutôt familial, peut être utilisé pour l’accueil d’amis et servir à la décoration. La vaisselle En Occident, on réserve à chaque convive un espace de 60 cm sur lequel on dispose assiettes, couverts et verres.
Cet espace, souvent mesuré, permet à chacun de se sentir à l’aise. Pour une table ronde, l’espace est de 30 cm minimum entre chaque assiette. Celles-ci sont placées à 2 cm du bord de la table, éventuellement sur une sous-assiette – qui ne sera retirée que pour le dessert. Un service classique comprend généralement trois types d’assiettes : des creuses pour les potages, des plates pour les entrées et les plats de résistance, et des plates plus petites pour le fromage et les desserts. On peut également disposer sous les assiettes des assiettes de présentation, très larges, qui décorent joliment la table mais ont l’inconvénient de prendre beaucoup de place. Seules les assiettes creuses peuvent être placées à l’avance sur les assiettes plates.
- Il est important de veiller à ce que les assiettes ne soient pas en face d’un pied de la table;
- Au cours d’un dîner très élégant, on change d’assiettes pour chaque plat;
- Dans l’usage courant, on change pour le fromage et/ou le dessert, et éventuellement après l’entrée;
Tout est une question de discernement. Si l’on sert un plat qui risque d’altérer le goût du suivant, on change nécessairement les assiettes. Les couverts La fourchette et la cuillère étaient collectives jusqu’à ce que Louis XIV vulgarise leur usage individuel à la Cour.
A partir de là, les couverts n’ont cessé d’évoluer et de se diversifier jusqu’à prendre les formes variées qu’on leur connaît aujourd’hui. Les couverts basiques comprennent couteaux et fourchettes de table, et cuillers à soupe; couteaux à fromage, fourchettes à desserts, cuillers à entremets et à moka.
Tous ces couverts ont leurs équivalents en couverts de service. Il existe une multitude de couverts aux usages très précis, qu’il est très rare de nos jours d’avoir au complet : fourchettes à poisson, à huîtres, à melon, à escargots, à gâteaux, à homard, couteaux à poisson, tartineurs, pinces à sucre… Les couverts peuvent être en acier inoxydable, en métal argenté, en argent massif ou, plus rare et plus raffiné, en vermeil (argent recouvert d’or). Quels que soient leurs matériaux, les couverts doivent être essuyés avant d’être disposés sur la table afin de leur rendre toute leur brillance et d’effacer toutes éventuelles traces de doigts. Les couverts sont placés de part et d’autres de l’assiette dans l’ordre où ils doivent être utilisés, de l’extérieur vers l’assiette.
Il ne doit pas y avoir plus de trois sortes de couverts en même temps sur la table ; il est de toutes façons assez rare d’en utiliser davantage, sauf dans les dîners très protocolaires. Plus concrètement, la fourchette se place à gauche de l’assiette, pointes vers la table, le couteau à droite de l’assiette, tranchant vers l’assiette, la cuiller à potage à droite du couteau, creux vers la table.
Pour les couteaux à fromage et les fourchettes à dessert, ils sont posés sur les assiettes au moment où ils sont utilisés. Les couverts de service sont placés devant la maîtresse de maison, ou mieux à proximité sur une desserte. Fait intéressant, les porte-couteaux ne sont admis qu’aux dîners intimes car ils impliquent que la maîtresse de maison n’a pas l’intention de changer les couverts entre chaque plat.
Les verres A l’instar du linge de table et des couverts, la verrerie apporte une élégance supplémentaire à la table. En effet, le verre permet de sublimer la robe d’un vin et d’en saisir toutes les subtilités.
Il doit donc être transparent et sans salissures. Deux verres obligatoires sont placés devant les assiettes, quelle que soit la nature du dîner: un verre à eau et un verre à vin. Pour un dîner plus mondain, jusqu’à quatre verres sont placés sur la table, par ordre décroissant de taille de gauche à droite : la flûte à champagne, légèrement décalée vers le centre de la table, le verre à eau, le verre à vin rouge (ou à bourgogne) puis le verre à vin blanc (ou à bordeaux).
- Les accessoires Pour que le couvert soit complet, il faut prévoir un certain nombre d’objets indispensables au bon déroulement du dîner: les carafes à eau en nombre suffisant pour que les hommes puissent se servir et servir leurs voisines, les bouteilles ou carafes à vin posées devant le maître de maison afin qu’il puisse aisément faire le service, les salières et poivrières ainsi que corbeilles à pain, rince-doigts et porte-menu, débarrassés avant le dessert;
A noter qu’une table un peu mondaine ne doit pas avoir de dessous de plats, réservés à la table familiale, car ils impliquent l’intention de se resservir de la nappe. La décoration Le dernier élément pour une table plus que parfaite est la décoration, véritable touche finale qui traduit la personnalité de la maîtresse de maison. Chaque détail compte et ajoute à l’ambiance du dîner. Aucune règle n’existe en cette matière si ce n’est le bon goût et l’imagination de chacun. Des bougies allumées sur la table donnent une grâce spéciale à la table et créent une atmosphère feutrée et tamisée.
Les bougies (bougeoirs, chandeliers, photophores) devront être en harmonie avec la nappe ou le décor intérieur. Les fleurs peuvent également décorer la table. Placées au centre de la table, elles peuvent évoquer une saison et ajouter une touche de naturel à l’ensemble.
Attention cependant à veiller à ce que le parfum des fleurs choisies ne soit pas incommodant et que les fleurs ne soient pas allergisantes, que les couleurs créent une unité avec le service et la nappe et que le bouquet n’empêche pas les invités de se voir. La table est maintenant impeccablement dressée, prête à recevoir les invités. Il reste cependant un point crucial pour passer une agréable soirée : le plan de table. Rendez-vous la semaine prochaine pour tout savoir sur le placement idéal des convives… Visuels: (c) Jean Riz ; Yada Photographies. Source: Le Bottin Mondain ..
Quel est le meilleur moment pour manger du fromage ?
Pourquoi il ne faut pas manger de fromage le soir ? – Étant riche en acides gras, le fromage est généralement déconseillé le soir par les professionnels de santé. En effet, il risque d’augmenter le taux de cholestérol. De plus, les produits laitiers peuvent provoquer des problèmes digestifs dû à leur teneur en lactose.
- Le lactose peut déclencher un pic de glycémie et réveiller votre faim durant la nuit;
- Ainsi, il est préférable de consommer le fromage le midi, dans des quantités raisonnables, pour faciliter la digestion;
Liste des fromages aux apports caloriques plus élevés :.
Quand manger le plateau de fromage ?
Toujours le bon moment Le plateau de fromage, il y a ceux qui l’aiment plutôt classique, servi juste entre le plat principal et le dessert, et ceux qui l’apprécient à l’anglaise, en toute fin de repas comme un véritable petit plaisir.
Quand manger du fromage pour ne pas grossir ?
La meilleure façon pour cela est de par exemple en manger un morceau le midi et le soir après les repas. Le matin vous pouvez consommer un peu de fromage blanc au lait écrémé, ce qui est important c’est de ne pas grignoter du fromage entre les repas.
Pourquoi manger une entrée ?
Du volume Tout d’abord une précision : une entrée digne de ce nom doit être composée de crudités ou bien de « cuidités » accompagnées d’un assaisonnement ad hoc. Les entrées à base de pizza, quiche ou charcuteries doivent être exceptionnelles car elles nuisent à l’équilibre nutritionnel. De plus, les charcuteries sont délétères à la santé, qu’elles soient maigres ou grasses, à cause du sel et des nitrites. Les salades et les différents légumes qui peuvent être consommés en début de repas apportent un volume important avec un faible apport calorique (hormis la sauce).
L’entrée permet donc de commencer à remplir l’estomac. La distension de ce dernier participera, si le repas n’est pas pris à la hâte, à la mise en place progressive de la satiété. La faible densité calorique des légumes jouent ici un rôle clé.
Certains micronutriments ne résistent pas à la cuisson et sont détruits (totalement ou partiellement). C’est le cas par exemple de la vitamine B9 et de la vitamine C. Certains composés bénéfiques à la santé présents dans les végétaux ne supportent eux aussi pas la cuisson.
On peut par exemple citer les composés soufrés de l’ail ou des crucifères. Garder des végétaux crus est donc important. Ce n’est pas tout : l’entrée, via l’utilisation d’huiles, est un des rares moyens d’assurer de bons apports en acides gras essentiels (oméga-6 et oméga-3).
Il n’est pas rare de voir des gens qui ne consomment pas assez de lipides, ou alors uniquement des mauvais lipides (surplus d’acides gras saturés, acides gras TRANS, acides gras peroxydés par la cuisson…). Attention, certains paramètres sont très importants pour le choix des huiles. Voici les principaux :
- Bouteille de verre (les bouteilles en plastique contiennent des produits plastifiants qui sont de puissants perturbateurs endocriniens).
- Flacon teinté (la lumière accélère l’oxydation des acides gras).
- Première pression à froid (les huiles raffinées contiennent des acides gras TRANS !).
- Vierges (les huiles industrielles sont extraites à l’hexane, solvant chimique).
- Bio (les polluants sont lipophiles, ils se fixent dans le gras).
Pour faire de bonnes associations il faut d’abord que les goûts se marient bien. Ensuite il faut veiller à ce que les acides gras de la série oméga-6 soient bien équilibrés par rapport à ceux de la série oméga-3. Ce point est capital pour la santé (se référer aux articles 1 , 2 et 3 ). On cherche un ratio inférieur à 4. En fait, en étant en dessous de 4, et en tendant vers 1, on obtient un ratio anti-inflammatoire. Il ne s’agit ici que des huiles ; avec l’ensemble des aliments de la journée le ratio sera beaucoup plus élevé, car beaucoup d’aliments contiennent des oméga-6 et peu sont source d’oméga-3 ! Il faut donc chercher un ratio rééquilibrant (entre 1 et 4). Voici les huiles à utiliser avec entre parenthèses le pourcentage d’oméga-3 dans le mélange et le ratio oméga-6/oméga-3 (ω-3 = x% ; ω-6/ω-3) :
- ½ olive ½ colza (ω-3 = 4,4% ; ω-6/ω-3 = 2,8)
- ½ noisette ½ colza (ω-3 = 3,5% ; ω-6/ω-3 = 3,5)
- ½ colza ½ noix (ω-3 = 5,7% ; ω-6/ω-3 = 3,8)
- ½ colza ½ macadamia (ω-3 = 4,1% ; ω-6/ω-3 = 2,4)
- ½ olive ½ chanvre (ω-3 = 8,9% ; ω-6/ω-3 = 3,5)
- ½ colza ½ chanvre (ω-3 = 12,7% ; ω-6/ω-3 = 2,9)
- ½ noix ½ chanvre (ω-3 = 14% ; ω-6/ω-3 = 3,9)
- 2/3 sésame 1/3 lin (ω-3 = 18,1% ; ω-6/ω-3 = 1,7)
- ½ sésame ½ cameline (ω-3 = 15,4% ; ω-6/ω-3 = 1,9)
Il est important de respecter un ordre précis pour réaliser une émulsion. Mélanger 1 volume de moutarde avec 1 volume de vinaigre ou de jus de citron. Saler, poivrer, ajouter épices et aromates. Incorporer progressivement l’huile en remuant sans cesse pour que l’émulsion se forme (si l’huile est ajoutée en trop grande quantité ou trop vite l’émulsion ne prend pas). Fabien Piasco Fabien Piasco est nutritionniste, diplômé d’Etat en diététique, titulaire d’un D. en nutrition Alimentation fonctionnelle et santé (Université Laval, Québec), d’un D. Nutrition et maladies métaboliques (Université de Rennes) et d’un diplôme en neuro-nutrition (SiiN). Formé à la micronutrition et à la phytothérapie, spécialiste des nutraceutiques, il a aussi travaillé en pharmacie pendant près de 19 ans.
Pourquoi le dessert est important ?
Le dessert, plus fort que tout – Le cerveau est néanmoins un petit malin. Il arrive parfois à reprendre le dessus sur l’estomac. Et ce, alors même que le ventre est tendu comme une peau de tambour. L’arrivée de nouveaux mets plus appétissants les uns que les autres peuvent en effet “réanimer” nos neurones.
Encore plus si les déserts rassemblent les deux composantes préférées de notre organisme : le gras et le sucre. Pour cause, ces deux éléments sont particulièrement importants pour mettre en route l’incroyable machine qu’est le corps.
Depuis la nuit des temps, gras et sucre sont par conséquent fortement associés à la sensation de plaisir dans notre esprit. De quoi réouvrir sans soucis des portes déjà fermées par la satiété. Pas étonnant qu’un dessert vous fasse donc toujours autant d’effet.
C’est quoi une entrée repas ?
Les entrées, toujours le premier plat du menu ? – De nos jours, l’entrée est souvent le premier plat servi d’un menu. Elle précède directement le plat principal. D’une grande diversité, les entrées sont des plats cuisinés chauds (vol-au-vent, bouchées, soufflés) ou froids (viandes froides, pâtés).
Cependant, dans un grand dîner, elles peuvent être servies après le potage ou les hors-d’œuvre. L’entrée n’est donc plus le premier plat du repas, mais se trouve alors en deuxième ou troisième position dans l’ordre de succession des mets.
Les hors-d’œuvre sont de plus petits plats que les entrées, également chauds ou froids, et se composent d’un assortiment varié. Servis en début de repas, ils doivent mettre en appétit, sans être trop riches.
Comment dresser une assiette de fromage ?
Pour dresser un beau plateau de fromage, suivez ces petits conseils :
- Tout d’abord, lors du choix de vos fromages, il vous faut varier les formes, les goûts et les origines des fromages.
- Pour le choix du plateau, favorisez un plateau en matière naturelle, comme le bois.
- Placez à gauche de votre plateau les fromages les plus doux et à droite les fromages les plus forts.
- Pour la touche finale, vous pouvez répartir autour des fromages des fruits, fruits secs ou fruits à coque, qui se marient très bien avec le fromage : raisins, raisins secs, figues, abricots, amandes ou noix par exemple.
- Pour ajouter une touche décorative sympathique et utile à la fois, vous pouvez créer des petites pancartes en bois ou ardoise pour noter les noms des fromages.
Votre plateau est prêt, bonne dégustation !.
Comment se servir de fromage ?
Optimisez la dégustation par une disposition harmonieuse – Le plateau de fromages doit être agréable à regarder et il doit inviter à la dégustation. Essayez donc de préserver une harmonie de forme, de taille et de couleur ! Effectuez également des coupes précises et régulières des tranches ! Mais un plateau réussi se doit d’être également efficient.
La règle veut que les fromages soient disposés en cercles concentriques qui présentent les plus doux aux extrémités et les plus forts vers le centre du plateau. Il faut également songer à rassembler les fromages durs et secs dans un espace précis, ainsi que les fromages qui s’effritent plus facilement dans un autre.
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Quels couverts utiliser en premier ?
Utilisez d’abord les couverts les plus éloignés de votre assiette (ceux qui sont marqués H ou M sur le croquis) puis (ceux qui sont marqués I ou L sur le croquis) et ainsi de suite, plat après plat. Le couteau sur l’assiette à pain (D) est placé là, uniquement pour beurrer votre pain.
Est-ce bien de manger du fromage le matin ?
Qu’en est-il du fromage ? – Est-ce bien de manger du fromage le matin ? La réponse est oui ! Comme il contient beaucoup de protéines, vous pouvez tout à fait consommer du fromage le matin. C’est même recommandé avec comme portion : 100gr pour une personne inactive et environ 140gr pour une personne active. .
Est-ce bon de manger du fromage le soir ?
La charcuterie Très caloriques, bourrées de sel et de graisses, les charcuteries favorisent la rétention d’eau ainsi que les troubles cardiovasculaires. C’est pourquoi il vaut mieux laisser le salami pour midi pour ne pas se réveiller tout(e) gonflé(e) le lendemain.
Les aliments frits Même si vous les trouvez délicieux, il va falloir vous en passer et ne les réserver que pour les occasions, surtout notamment le soir. Extrêmement caloriques et gras, les nuggets, cordons bleus et autres fritures regorgent d’huile.
Les poissons à l’huile Préférez les poissons maigres qui sont à la fois savoureux et excellents pour votre santé, comme le cabillaud, le merlan, le colin. Evitez les thons à l’huile ou les sardines les soirs, très caloriques. Mais ne les supprimez pas de votre alimentation, car ils sont aussi riches en oméga-3 ! 4.
Les glaces Très riches en sucre et en matières grasses, les crèmes glacées favorisent le stockage des graisses et donnent une sensation de lourdeur à l’estomac. Optez pour un sorbet après votre dîner, beaucoup plus léger et procurant autant de plaisir qu’une bonne glace.
La viande rouge Difficile à digérer, elle est déconseillée le soir en raison des troubles du sommeil qu’elle peut générer. Le fromage Riche en acides gras, le fromage risque d’augmenter le taux de cholestérol et de boucher les artères. Ne vous en privez pas, mais consommez-en modérément, surtout le soir.
- Les féculents Que ce soit sous forme de pâtes, purées, riz ou pain (complet, blanc);
- Riche en sel et sucre, ils peuvent augmenter le risque des troubles cardiovasculaires;
- L’avoine Autant les flocons d’avoine sont excellents quand ils sont consommés le matin, autant le soir, ils risquent de provoquer des ballonnements à cause de leur très grande teneur en fibres;
Les gâteaux et les biscuits Des petites douceurs qui font tellement plaisir, mais qui renferment trop de gras, sucre et sel. Une fois de temps en temps au petit déjeuner ou au déjeuner, vous pouvez craquer pour votre sucrerie préférée, mais surtout pas le soir ! 10.
Est-ce bon de manger du fromage tous les jours ?
Publié le 07. 06. 2017 , mis à jour le 17. 02. 2022 Oui ! La consommation d’au moins une portion quotidienne de fromage est bonne pour la santé, les papilles et le moral. Les Français adorent le fromage et ils ont raison : excellent pour la santé et délectable pour les papilles, le plus varié des produits laitiers a tout bon !.